Aujourd’hui, je vous propose de partager une histoire de coach dans laquelle s’est parfaitement illustrée une phrase qui revient souvent dans mes articles :
Lire la suite »Être doux avec les personnes et dur avec les situations
Aujourd’hui, je vous propose de partager une histoire de coach dans laquelle s’est parfaitement illustrée une phrase qui revient souvent dans mes articles :
Lire la suite »Être doux avec les personnes et dur avec les situations
Ceux qui me connaissent savent que j’ai commencé ma carrière dans le monde de l’agilité. L’agilité fait encore énormément partie de ma vie aujourd’hui mais, même si j’en suis un fervent promoteur, un point m’a toujours contrarié : le rôle des managers dans cette démarche.
En effet, les méthodes les plus connues implémentant les valeurs de l’agilité (comme Scrum) ne donnent pas de rôle précis aux managers. Pire que cela, on entend souvent les agilistes se moquer d’eux, les décrédibiliser voire même les diaboliser. Ils sont même souvent dénoncés comme principaux responsables de l’échec de l’agilité dans les entreprises. Lors d’un forum ouvert sur l’agilité, le sujet « A quoi servent nos managers ? » a même été proposé. J’ai alors assisté à 45 minutes de débat pendant lequel des agilistes ont tenté (en 2018 hein !!) de formaliser un rôle à ces personnes mises de côté. Du coup, cela m’amène à une question : comment peut-on espérer un changement réussi sans donner un rôle aux managers ? N’est-ce pas cela la principale cause de l’échec de l’agilité dans les entreprises ?
Le Lean m’a ouvert les yeux sur énormément de choses et est notamment venu apporter des réponses à cette interrogation. En effet, le Lean ne leur donne pas simplement un rôle, il les positionne comme acteurs clés de la démarche d’amélioration. Le Lean, ce n’est pas qu’un modèle de production comme on le lit de manière un peu « trop résumé » parfois, c’est également un modèle de management : le Toyota Way, que je vais tenter de résumer ici.
Lire la suite »J’ai déjà écrit un article traitant de cette méthode extrêmement puissante qu’est le questionnement socratique. Elle permet d’accompagner la réflexion de nos interlocuteurs pour qu’eux-mêmes finissent par apprendre et trouver leurs propres solutions. Mais cet article était très théorique et avec le recul, il ne reflétait pas assez la puissance de cette approche à mon goût. Je ne savais pas comment trouver un exemple précis et claire, et finalement, le week-end dernier je suis tombé sur un livre intitulé « Permettre à la chance d’entrer dans sa vie » de Véronique Lours.
Bien que le sujet principal soit ici bien éloigné de l’IT, il y a dans ce livre un extrait que j’ai réellement trouvé intéressant car il montre un très bel exemple de mise en application de ce type de questionnement. Il reflète parfaitement le cheminement que nous devons avoir en tant que coach : diriger le regard des personnes vers des opportunités d’amélioration et non leur fournir les solutions. C’en est alors de la responsabilité de ces personnes de les saisir ou pas.Lire la suite »
Bon bon ok, je fais référence à un syllogisme bien connu avec un titre qui n’en n’est pas un (si vous ne savez pas pourquoi, je vous renvoie à la définition. Mais ce n’est pas du tout le sujet de ce billet).
Aujourd’hui, je me suis intéressé au questionnement. En tant que coach, notre rôle premier est d’accompagner la réflexion des personnes sur des sujets que nous mettons en lumière. Autrement dit, nous ne donnons pas les sujets, encore moins de solutions, mais nous braquons notre projecteur sur des endroits pouvant être sources de problèmes (et donc d’améliorations).
Le choix du sujet d’amélioration et la manière de progresser dans l’analyse de celui-ci ne sont connus que des personnes travaillant au quotidien sur ces sujets. Le coach n’est donc pas là pour dire quoi faire, mais pour éclairer le chemin de la réflexion. Et sa manière d’y arriver est : le questionnement.
Cecil Dijoux, coach, blogger et auteur du livre hyperlean, m’a parlé un jour du questionnement socratique. Je me suis dit qu’il avait peut-être pris un apéro un peu fort pour me parler d’un mec qui a vécu vers 430 avant J.C. dans le but d’accompagner la résolution de problèmes d’une équipe IT en 2018.
Et puis ma curiosité ayant toujours le dernier mot sur ma manière de vivre, j’ai fait quelques recherches sur le sujet. Il se trouve qu’en effet, Socrate avait tout compris à l’esprit de coaching et que 2 448 ans après, nous avions pas mal de choses à apprendre de lui sur ce sujet.Lire la suite »